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Le rapport Bien-être et efficacité au travail, qu'avait commandé le Premier ministre à H. Lachmann, C. Larose et M. Penicaud, lui a été remis le 15 février 2010. Ayant pour sous-titre 10 propositions pour améliorer la santé, le rapport vise le secteur privé et insiste sur l'aspect politique que doit revêtir toute démarche de santé au travail, impliquant nécessairement les directions les managers de proximité et les partenaires sociaux. Ceux-ci devront être mieux formés sur les aspects psychologiques et sociaux dans la poursuite de leurs missions respectives. Doit également découler de ce préalable, la constitution d' espaces donnés aux collectifs de travail permettant à chacun de dialoguer et de trouver les moyens de se réaliser par son travail. Les auteurs pensent que le développement du bien-être en entreprise dépend de perfomances collectives, qui peuvent être évaluées à partir de la mesure des conditions de santé et sécurité au travail. En conséquence, les actions sur l'organisation du travail et la formation seront privilégiées car elles participent directement à l'amélioration de ce que nous appelons "la santé publique au travail" sans que ne puisse être écartée une prise en charge des situations critiques de souffrances individuelles dans et hors de l'entreprise.
Pour accéder au rapport
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